BocoBoco: faire son épicerie différemment

Photo_Laura G. Diaz

— Ce billet a été rémunéré par BocoBoco en échange d’un avis honnête de VCP concernant son expérience —

Plastique, papier, carton, emballages à usage unique… De nos jours, l’emballage est omniprésent. Il suffit de se promener dans les allées des épiceries pour ressentir un peu d’angoisse devant tous ces produits/aliments suremballés. Ce n’est pas du tout emballant pour l’environnement ni pour le portefeuille. Car au final, la planète et le consommateur paient pour tous ces emballages.

Des solutions? Avec l’achat en vrac: on remplit nos bocaux, on minimise ses déchets, on fait un geste concret pour l’environnement et on économise. Et j’ai une bonne nouvelle pour vous, on peut même pousser le concept un peu plus loin et le rendre un peu plus user friendly. Je vous en parle juste ici!


BOCOBOCO: DES BOCAUX PLEINS CONTRE DES BOCAUX VIDES

Récemment, j’ai découvert les services de l’entreprise BocoBoco. Cette épicerie en ligne basée sur les principes de l'économie circulaire et les partenariats locaux, a mis en place un système avec tous les avantages des épiceries en vrac, tout en proposant de gérer pour nous la partie un peu moins agréable : traîner ses pots et contenants divers. On doit se dire la vérité, il n’est pas toujours «easy going» de se rendre dans une épicerie en vrac, les bras chargés de contenants vides, de les remplir un peu à l’aveugle — en ayant parfois la mauvaise surprise que ça coûte un plus cher que prévu — et de rentrer à la maison croulant sous le poids de nos bocaux. Grâce au système d’achat en ligne de ce commerce zéro déchet, on est complètement ailleurs.

Avec BocoBoco, c’est tout simple: des bocaux pleins, contre des bocaux vides. En un clic, on a accès à une foule d’aliments et de produits locaux, artisanaux et biologiques. Tout ce qui compose généralement une épicerie se retrouve sur leur site. Des aliments bruts, aux plats préparés en passant par les produits d’hygiène et ménagers. L’offre de BocoBoco est vraiment complète. 

Avec leur proposition de contenants consignés, fini l’épreuve de la marche armée de pots vides. On nous livre directement nos achats à la maison et ce, de façon écologique. Les aliments viennent dans des contenants et sacs consignés et ils sont récupérés à la prochaine livraison. Je ne sais pas si ça vous parle, mais pour ma part, j’adore le concept! Derrière chaque contenant consigné, il y a un emballage jetable de moins. Et à ce jour, grâce à ses clients, le système de BocoBoco a permis d’éviter plus de 9,37 tonnes de déchets à Montréal.

MON EXPÉRIENCE: FAIRE UN GESTE POUR L’ENVIRONNEMENT EN TOUTE SIMPLICITÉ

Tout d’abord, je dois dire que j’ai été charmée par le concept et la qualité des aliments proposés. En effet, cela transparaît dans le choix des différents partenaires, produits et aliments offerts sur l’épicerie en ligne BocoBoco. On sent qu’il y a beaucoup de passion derrière cette entreprise!

J’ai aussi apprécié toute la simplicité derrière le processus. Tranquillement chez moi, j’ai passé ma commande en fonction de mes besoins. Il faut savoir que chaque commande doit être réalisée le mardi avant minuit, pour recevoir la livraison le jeudi de la même semaine. J’ai pris soin de remplir mon formulaire de retour de consignes, c’est-à-dire mes prédictions et voilà! La semaine suivante, lors de ma commande, on me rembourse mes consignes de la semaine d’avant (sous forme de Boco$) et pour ma part, je dois les redonner nettoyés au livreur… et ainsi de suite…

J’ai passé quelques commandes au cours des dernières semaines et je vous confirme que l’essayer, c’est l’adopter! Je vous invite vivement à aller jeter un œil sur leur site. Faire son épicerie zéro déchet n’a jamais été aussi facile!

🎁VOUS AVEZ ENVIE D’ESSAYER? BOCOBOCO VOUS GÂTE!

En collaboration avec BocoBoco, j’ai le plaisir de vous offrir un code promo qui vous donne droit à 10$ de rabais lors de votre première commande. Vous n’avez qu’à intégrer le code promo au moment de passer à la caisse virtuelle.

👉🏼Code promo: REFVCP (valide en tout temps).

Photo_Laura G. Diaz